La Gloire: des améliorations bien pratiques!

Aujourd’hui, on va se pencher sur le croiseur léger français Gloire de la classe La Galissonnière, doté d’une cadence de tir accrue et d’un nouveau radar!

Gloire : Un croiseur léger pour la France au rang IV

En bref:

  • Neuf canons de 152 mm, cadence de tir de 9 coups par minute
  • Batterie de défense aérienne renforcée
  • Bonne protection
  • Torpilles et radar
  • Pas d’avion de reconnaissance
Histoire du navire

La Gloire, croiseur léger de la classe La Galissonnière, entre en service en 1937. Au début de la Seconde Guerre mondiale, la Gloire transporte des réserves d’or vers le Canada et escorte des convois.

Après la capitulation de la France en 1940, la Gloire reste sous le contrôle du régime de Vichy et est basée à Toulon. En septembre 1940, elle est envoyée à Dakar mais, à cause de pannes de machines, elle ne peut pas rejoindre les autres bâtiments et est contrainte par les forces britanniques de rallier Casablanca.

Après les débarquements alliés en Afrique du Nord en 1942, la Gloire rallie les Forces françaises libres. Après une modernisation aux États-Unis, elle participe à la chasse aux navires allemands dans l’Atlantique puis appuie les débarquements alliés en Italie et dans le sud de la France. En 1944, elle bombarde des positions ennemies durant l’opération Dragoon, tirant environ 2 000 obus. Après la guerre, la Gloire effectue trois voyages vers l’Indochine, est désarmée en 1955 et ferraillée en 1958.

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Présentation de la Gloire!

Le croiseur léger Gloire dans sa modernisation de 1947 se distingue de son sister-ship La Galissonnière par une cadence de tir accrue, un équipement radar amélioré et une batterie antiaérienne renforcée. Ce bâtiment extrêmement polyvalent rejoint l’arbre naval français de la flotte de haute mer lors de la prochaine mise à jour majeure, alors voyons ça de plus près!

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Comme le croiseur léger La Galissonnière, la Gloire dispose d’une excellente dotation en armement avec neuf canons de 152 mm répartis en trois tourelles. Cependant, une différence notable réside dans le fait que la Gloire arrive en jeu dans sa modernisation de 1947, après des travaux sur le système de chargement, augmentant la cadence de tir des pièces de calibre principal à 9 coups par minute. En plus de cela, la Gloire bénéficie d’un excellent choix de munitions, comprenant des obus explosifs, semi-perforants et perforants. En jouant la Gloire, vous aurez toute liberté de choisir les obus adaptés à chaque situation de combat dans laquelle vous vous trouverez!

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Autre différence importante avec son sister-ship: des capacités de défense antiaérienne améliorées. La Gloire reçoit une batterie antiaérienne mise à jour, significativement renforcée par rapport aux configurations antérieures. Grâce à cela, les éprouvés canons Bofors de 40 mm et Oerlikon de 20 mm assurent la défense aérienne, corrigeant le point faible de la défense AA relativement limitée des bâtiments de la classe La Galissonnière. En plus, la Gloire dispose de radars américains et britanniques modernisés pour une détection précise et précoce des menaces aériennes. De la place étant nécessaire pour ces radars, la Gloire a été dépourvue de son avion de reconnaissance.

Sa modernisation de 1947 s’accompagne aussi d’un effectif accru, ce qui augmente la survivabilité de la Gloire. Elle conserve également les atouts essentiels de sa classe: des torpilles et un bon blindage des compartiments importants. La Gloire sera un bâtiment très polyvalent et une pièce maîtresse de n’importe quelle bataille, mais veillez à rester au contact de vos alliés pour optimiser votre survivabilité.

C’est tout pour cette présentation! La Gloire rejoint War Thunder lors de la prochaine mise à jour majeure dans l’arbre de la flotte de haute mer française. N’oubliez pas de consulter notre site pour d’autres devblogs à venir.

Veuillez noter que les caractéristiques de ce véhicule peuvent être modifiées avant son ajout au jeu.